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| On l'avait dit: si on fait un jour du pédalo, ce sera sur le lac Titicaca et pas avant. Eh ben c'est fait, le 19 septembre, et pas avec n'importe quel pédalo comme vous voyez. Vous pouvez constater aussi que le mal d'altitude n'est plus qu'un souvenir, du moins à 3800m. A nous l'altiplano! Nous nous décidons pour l'option bolivienne, d'autant plus que de nombreuses agences de voyages peuvent nous permettre d'organiser ca un peu plus facilement que par nous-mêmes. En attendant visitons Puno. |
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A Puno on trouve des vélos-taxis, et le monsieur qui a tenu a nous prendre tous les quatre dans son engin a dépensé une sérieuse quantité d'énergie à nous faire traverser la ville. Au moins il est au point pour son prochain match de foot. |
| A Puno, on a aussi compris à
quoi servent les faisceaux de fils qui pendent partout: à y
appuyer les échelles! Ne vous inquiétez pas, en bas il y a un collègue qui tient le bas de l'échelle et qui l'empêche de se démonter. On a aussi appris pourquoi la majorité des maisons se terminent par de grands fers à béton dressés vers le ciel. Rien de religieux, c'est que le gouvernement impose une taxe lors de l'achèvement d'une maison. Personne n'est donc pressé d'achever la sienne. On peut appeler ca la prime à l'enlaidissement du Pérou. |
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Et puis pendant notre séjour a
Cuzco, il est tombé une météorite pas loin d'ici,
à la frontière bolivienne. Les habitants, après s'être rués sur le site en pensant qu'il y avait des métaux précieux à rapporter, trouvent maintenant que l'odeur dégagée par la chose est bien inquiétante et demandent que des spécialistes viennent sur le terrain. D'autres spécialistes que le maire et le commissaire du coin si possible... Et nous on se dit qu'après le tremblement de terre de Pisco, voilà une deuxième catastrophe qui passe pas loin, et qu'on devrait peut-être prendre le large. Samedi 22, on part pour La Paz. |